Description

Reproduction signée.
Dimension : 30 x 40 cm.

125 euros. Prix hors frais de port & encadrements
Ces reproductions sont vendues sans cadre et correctement emballées pour des expéditions partout dans le monde.

Impression sur papier d’Art haut de gamme Munken 300 g. 100% coton. Il s’agit d’une reproduction numérique haute définition d’œuvres d’art qui permet de garder la profondeur des couleurs.

Numérotés à 25 exemplaires, ces reproductions sont signées de la main de l’artiste au dos de chaque tirage d’Art.
avec un certificat d’authenticité.

Leurs Histoires : 
Les Editions Limitées perpétuent l’Histoire de l’Œuvre Originale.
Si l’une d’entre elles vous touche, ce n’est pas par hasard, lisez ce qu’elle raconte.

L’artiste prend pour thème la reine Marie-Antoinette, à qui elle confère des traits africains. Nous avons ici le portrait allégorique d’une femme dont le destin a connu une issue tragique. Sa « sosie » africaine devient l’hypostase de la Femme, non seulement africaine mais universelle, en ce sens que, par sa présence picturale, elle venge la Femme opprimée, en lui rendant sa légitimité humaine et historique. L’artiste a voulu respecter la souveraine en se basant sur un portrait de la reine, peint par Elisabeth Louise Vigier-Lebrun, qui fit scandale à son époque car il représentait la souveraine en robe de gaulle, c’est-à-dire en tenue d’intérieur, indigne de la personne royale. Si nous comparons l’œuvre originale avec celle de l’artiste, l’on se rend compte qu’il ne s’agit nullement d’une copie, mais bien d’une œuvre sur une œuvre, destinée à apporter à celle-ci une deuxième existence. Le chapeau, la parure, la robe et le bouquet de roses que tient la reine, expriment la volonté de rendre hommage à la Femme sacrifiée. Observons que l’artiste a restitué l’arrière-plan noir présent dans l’œuvre originale, en faisant de sorte que le sujet resplendisse de sa propre lumière. Cette lumière existentielle se retrouve tant dans le teint blanc laiteux de la toile originale que dans la peau noire de la Femme africaine, que le vêtement, lui-même lumineux rend vivante, à l’instar de celui d’Elisabeth Louise Vigier-Lebrun.